Shalom Akhshav, 31 octobre 2007

[->http://www.peacenow.org.il/site/en/peace.asp?pi=66&docid=2561]

Traduction : Gérard Eizenberg pour La Paix Maintenant



 Slogans de la campagne : « Olmert, le Moment est Venu de Choisir », et « Dites Oui à un Accord de Paix ».

 La campagne sera visible ces prochaines semaines sur des centaines de panneaux d’affichage partout dans le pays, dans la presse ainsi que sur les sites web consacrés à l’info.

 La campagne dans les médias sera accompagnée de plusieurs actions de rue, de lobbying politique et d’actions communes avec les Palestiniens.

Le slogan « Olmert, le Moment est Venu de Choisir » sera systématiquement accompagné d’un visuel montrant un stylo face à une balle.

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Traduction du visuel : en haut, « Le moment est venu de chosir ». En bas : « Oui à un accord de paix. »


Extraits d’un article de Yediot Aharonot du 31 octobre :

[->http://www.ynetnews.com/articles/0,7340,L-3466218,00.html]

« Nous pouvons envahir la bande de Gaza de tanks, et décider que désormais, ses habitants ne prendront que des douches froides, mais au bout du compte, il n’y a pas de meilleure solution que la paix », a déclaré Gadi Baltiansky, secrétaire général de l’Initiative de Genève (côté israélien). « Les sondages indiquent que l’opinion le comprend. La question est de savoir si Olmert et ses ministres le comprennent aussi. » Baltiansky continue : « Nous disons à Olmert : A toi de choisir entre Lieberman (Avigdor, ministre des Affaires stratégiques, du parti Israel Beitenou, ‘Israël notre maison’), et tes petits-enfants. A toi de décider : la coalition ou l’avenir du pays. »

Au cours de la conférence de presse, les organisateurs ont appelé le Parti travailliste à « sortir du placard » et à soutenir les négociations. « Tant que les députés travaillistes ont le derrière collé à leur siège, ils n’élèvent pas la voix et n’exercent aucune pression pour encourager les négociations », a encore déclaré Baltiansky.

Yariv Oppenheimer, secrétaire général de Shalom Akhshav, a dit : « la droite israélienne a un intérêt commun avec l’Iran, et avec quiconque ne cherche pas à progresser sur la voie diplomatique. Nous voyons les pressions exercées sur les ministres. Tout le monde tente de saboter les chances de réussite du sommet d’Annapolis. Les citoyens israéliens doivent donc être conscients du fait qu’une conférence couronnée de succès constitue la véritable réponse à la menace iranienne. »